Vers une crise alimentaire en Chine ?

Nous sommes à la veille de la fête du travail aux États-Unis, traditionnellement le jour au-delà duquel on n'était jamais censé porter du blanc, et nous sommes passés de la générosité de l'été à la fin de la saison des récoltes alimentaires occidentales typiques.

Je parlais juste à ma mère, la jardinière passionnée de légumes et de fleurs à la maison, et j'ai appris que mes réflexions sur la sécurité alimentaire ont un certain effet. Elle suit sa récolte estivale exceptionnelle de tomates, courgettes, brocolis, épinards et autres légumes variés, en plantant pour la première fois un potager d'automne - choux de Bruxelles, choux, épinards et autres choses assorties. Je ferai rapport au cours des prochains mois sur le fonctionnement de cette expérience.

C'est le moment idéal pour inviter les commentateurs à partager leurs derniers rapports sur leur récolte 2020 jusqu'à présent. En plus de transmettre tous les projets que quiconque pourrait avoir pour la plantation d'automne (et pour tout ce que vous, la mère du jardinier vétéran, est impatiente de prendre en compte tous les conseils ou suggestions pour son automne du Nord Potager de Caroline).

 Elle a également eu un certain succès avec les myrtilles que je lui ai envoyées - pas tellement avec les fruits produits cette année, même si elle a obtenu suffisamment de baies pour compléter certains petits-déjeuners. Mais les plantes se sont bien installées et elle s'attend à récolter une récolte décente la prochaine saison de croissance.

 Je lance également un plaidoyer pour que nous plantions tous quelque chose d’un article d’opinion du Guardian sur l’agriculture, assez de «local» et «biologique». Nous commencerons à bien manger lorsque nous cultivons bien:

 Dans un premier temps, j'exhorte tout le monde à essayer de cultiver quelque chose de leur propre chef à manger, au moins une fois. Bien sûr, tout le monde n'a pas la chance de posséder un champ ou même un jardin, mais le simple fait de cultiver quelque chose comme un paquet de laitue sur un rebord de fenêtre peut aider à apprécier la beauté, le défi et le miracle de la culture de la nourriture. Cela nous aide à commencer à penser au sol, à la vie que nous nourrissons, aux processus élémentaires qui nous soutiennent tous.

 Ce faisant, vous pourriez commencer à penser aux Britanniques campagne comme votre jardin. Vous n'entreriez pas dedans et vous attendriez à en manger quelque chose que vous ne pourriez pas cultiver, ou quelque chose hors saison, ou quelque chose qui a saccagé votre jardin. Au lieu de cela, vous regarderiez ce qui était disponible à chaque saison et essayez de manger en conséquence.

 Au-delà de cela, si vous le pouvez, obtenez votre nourriture directement auprès d'un agriculteur avec un système agricole durable et des valeurs environnementales (beaucoup d'entre eux peuvent être trouvés sur les médias sociaux et, oui, ils livrent souvent à domicile). Ou essayez d'être une nuisance et posez plus de questions dans les magasins et les restaurants sur l'origine de la nourriture. Si elle n’a pas d’origine, une histoire que vous pouvez comprendre, ne l’achetez pas. Et puis soyez bruyant. Exigez des modifications de nos lois qui élèvent nos normes et encouragent un changement progressif dans les exploitations agricoles via des programmes environnementaux. Par-dessus tout, pour le moment, nous devrions tous élever nos voix contre l'accord commercial proposé avec les États-Unis qui ferait empirer les choses.

 L'article du Guardian se concentre sur l'agriculture durable, et non la sécurité alimentaire. Mais le remède est le même. Et oui, cher commentariat, je suis conscient que le jardin d'herbes que je cultive lorsque je suis stationné n'importe où pendant une longue période ne va pas m'empêcher de mourir de faim. Mais cela m'aide à répondre à certains de mes besoins alimentaires et me met aussi en contact avec le cycle agricole. Pour ceux qui restent en place plus longtemps, leur ambition peut dépasser un jardin d'herbes de base.

 Jamais je n'ai autant voulu que mes réflexions se réalisent, car je crains que le COVID-19 ne menace finalement la sécurité alimentaire d'une grande partie du monde.